À Charles Spon, le 17 octobre 1667, note 30.
Note [30]

V. note [9], lettre 736, pour François Verny, apothicaire de Montpellier, que Guy Patin avait prématurément cru mort.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 17 octobre 1667, note 30.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0925&cln=30

(Consulté le 24/04/2024)

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