Autres écrits : Ana de Guy Patin :
Borboniana 8 manuscrit, note 31.
Note [31]

Pour préserver la logique du texte, j’ai inversé les noms des deux collèges parisiens avec lesquels joue cette phrase (ce qu’a omis de faire le Borboniana imprimé de 1741, page 297) :

  • Pierre Cospéan, comme il est dit plus haut, a commencé par régenter au Collège de Lisieux ;

  • par la suite, ses trois évêchés successifs (Aire-sur-Adour, Nantes et Lisieux) ont valu fait dire par plaisanterie qu’il régentait au Collège des Trois-Évêques, ancien nom du Collège de Cambrai (v. note [15], lettre 153), que le Borboniana imprimé a malencontreusement transformé en « Collège des Trois-Évêchés » (par référence maladroite aux Trois-Évêchés de Lorraine, Metz, Toul et Verdun, v. note [52], lettre 150), tout en supprimant (bien sûr) le mot jésuitisé.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Autres écrits : Ana de Guy Patin :
Borboniana 8 manuscrit, note 31.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8209&cln=31

(Consulté le 20/04/2024)

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