Autres écrits : Ana de Guy Patin :
Patiniana I‑3 (1701), note 32.
Note [32]

Cet article du Patiniana imprimé ne figure pas dans le manuscrit de Vienne : Guy Patin a relaté ce même bon mot dans le premier paragraphe de sa lettre du 2 juin 1657 à Charles Spon. Il cessa de faire rire après la guérison inespérée de Louis xiv, en 1658 (v. note [6], lettre 532), qu’on attribua à une prise de vin émétique d’antimoine et qui permit, en 1666, au médicament de triompher définitivement sur ses adversaires (antistibiaux).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Autres écrits : Ana de Guy Patin :
Patiniana I‑3 (1701), note 32.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8198&cln=32

(Consulté le 28/03/2024)

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