À Charles Spon, le 26 décembre 1656, note 34.
Note [34]

« je me hâte à des affaires plus grandes et meilleures ». Guy Patin faisait ici preuve de la même indifférence pour la circulation de la lymphe et du chyle que pour celle du sang (v. note [10], lettre 288) et, sous prétexte de pragmatisme, pour toutes les spéculations innovantes de la médecine.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 26 décembre 1656, note 34.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0458&cln=34

(Consulté le 26/04/2024)

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