À Charles Spon, le 1er mai 1654, note 36.
Note [36]

M. Antonii Mureti I.C. ac Civis R. Institutio puerilis ad M. Antonium fratris F. Eiusdem Monodia in Chritophorum Thuanum Principem Senatus Parisiensis. Et in utrumque Poema. Antonii Constantini notæ.

[L’Institution des enfants, de M. Antonius Muretus, jurisconsulte et citoyen romain, {a} à l’intention de M. Antonius Muretus, fils de son frère. Et du même auteur Monodie {b} pour Christophorus Thuanus, premier président du Parlement de Paris. {c} Poèmes pour l’un et l’autre, avec des notes d’Antoine Constantin]. {d}


  1. Marc-Antoine Muret, mort à Rome en 1585, où il vivait depuis 1557 : v. note [31], lettre 97.

  2. Chant funèbre.

  3. Christophe de Thou, mort en 1582, v. note [6], lettre 922

  4. Paris, Ioannes Richerus, 1585, in‑8o de 60 pages, pour la 1re édition.

    Le libraire Antoine Constantin a copieusement annoté les deux poèmes de Muret recueillis dans cet ouvrage, et a écrit une épître datée de Rome le 31 décembre 1583, adressée à Io. Antonius Ursino, très brillant jeune homme, à qui il dédie son travail. Elle est suivie de l’épître de Muret à son neveu, datée de Rome le 1er janvier 1578.


L’Institutio puerilis (pages 11‑36) est un poème latin de 107 vers hexamètres ; Nicolas François (de Neufchâteau) l’a traduit en vers français, italiens, espagnols et allemands sous le titre de L’Institution des enfants, ou Conseils d’un père à son fils ; imité des vers de Muret (Paris, P. Didot l’Aîné, 1808).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 1er mai 1654, note 36.

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(Consulté le 20/04/2024)

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