À Charles Spon, les 21 et 22 novembre 1652, note 38.
Note [38]

« Ô cruelle mort, pour toute ombre plus odieuse, n’aurait-on au moins dû te permettre cela ! » ; Martial (Épigrammes, livre vii, 21, vers 3‑4) :

Heu Nero crudelis, nullaque invisor umbra,
Debuit hoc saltem non lisuisse tibi !

[Ah cruel Néron, pour nulle ombre…]

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, les 21 et 22 novembre 1652, note 38.

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(Consulté le 18/04/2024)

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