À Claude II Belin, le 28 août 1635, note 4.
Note [4]

Souvent dans ses lettres, Guy Patin a ainsi offert de recommander des plaignants à des juges de sa connaissance. On ne peut savoir si c’était une manière de vanter ses relations bien placées ou de rendre vraiment service. Il en ressort tout de même l’impression que les conseillers du Parlement n’étaient pas insensibles à ces interventions.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Claude II Belin, le 28 août 1635, note 4.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0024&cln=4

(Consulté le 16/04/2024)

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