À André Falconet, le 16 août 1647, note 4.
Note [4]

Partial : « La faiblesse de l’esprit de l’homme est telle qu’il se préoccupe aisément, qu’il a du mal à effacer les impressions dont il est préoccupé, qui entrent les premières dans son esprit. Un juge, un philosophe ne se doivent point laisser préoccupe. C’est le propre du peuple de se laisser préoccuper, de ne trouver bon que ce qu’il a accoutumé de voir, de pratiquer » (Furetière).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 16 août 1647, note 4.

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(Consulté le 29/03/2024)

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