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« Enfin libéré de son précepteur, il aime les chevaux : comme une cire molle, il se laisse façonner au vice, regimbe aux avertissements, met longtemps à songer à l’utile, dépense sans compter » ; emprunt tronqué à Horace (Art poétique, vers 161‑165) :
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 28 mai 1649. Note 4
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