À André Falconet, le 16 avril 1666, note 4.
Note [4]

« soit par apoplexie, {a} soit par syncope cardiaque, {b} qui sont en rapport avec le mouvement du sang, lequel est liquéfié par la température printanière et s’épanche. » {c}


  1. V. note [5], lettre 45.

  2. V. note [15], lettre 554.

  3. Dans sa spéculation sur la mort subite (v. note [15], lettre 554), Guy Patin prenait bien sûr grand soin de parler de mouvement, et non de circulation du sang.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 16 avril 1666, note 4.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0864&cln=4

(Consulté le 19/04/2024)

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