À Johann Caspar I Bauhin, le 20 mars 1670, note 4.
Note [4]

Accablé de dettes et de chagrins en sa 69e année d’âge, Guy Patin ne caressait plus que l’espérance lucrative et honorifique de devenir le plus ancien maître (antiquior magister), le doyen d’âge (decanus senior) ou l’ancien, comme on disait plus brièvement (v. note [20], lettre 17) : Dieu seul le choisissait pour la Compagnie des docteurs régents de la Faculté de médecine de Paris ; il jouissait de doubles émoluments et il avait son nom en tête de leur catalogue annuel.

L’ancien était alors (tableau du 14 novembre 1669) Pierre de Beaurains (v. note [15], lettre 336), reçu docteur régent en novembre 1618, soit neuf ans avant Patin, qui était séparé de lui par (2) François Pijart, (3) Claude Quiquebœuf, (4) Philippe Hardouin de Saint-Jacques, (5) Hermand de Launay, (6) Philibert Morisset, (7) Jacques Thévart.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johann Caspar I Bauhin, le 20 mars 1670, note 4.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1031&cln=4

(Consulté le 19/04/2024)

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