À un médecin anonyme, le 26 mai 1653, note 4.
Note [4]

Le latin que Guy Patin a barré (ici mis entre accolades), « et que sobre, il se contente d’eau pure », venait d’Ovide : Vina fugit, gaudetque meris abstemius undis [Sobre, il fuit le vin et se contente d’eau pure] (v. note [3], lettre 159).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À un médecin anonyme, le 26 mai 1653, note 4.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1055&cln=4

(Consulté le 23/04/2024)

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