À Johann Georg Volckamer, le 9 avril 1655, note 4.
Note [4]

La parution en 1653 de L’Antimoine justifié et l’Antimoine triomphant… d’Eusèbe Renaudot (v. note [21], lettre 312) avait provoqué une floraison de libelles, écrits tant en français qu’en latin, qui rivalisaient en virulence pour défendre ou pourfendre le parti des médecins antimoniaux de la Faculté de médecine de Paris. Le 26 mars 1652, 61 d’entre eux avaient signé une approbation du médicament, en opposition ouverte avec le reste de leurs collègues et tout particulièrement avec Guy Patin, leur doyen d’alors (v. note [3], lettre 333).

Les trois principaux ouvrages français antistibiaux avaient été :

  • la Légende de l’antimoine (1653, v. notes [11], lettre 333, et [55], lettre 348) ;

  • Le Rabat-joie de l’antimoine triomphant… de Jacques Perreau (1654, v. note [3], lettre 380) ;

  • Remarques sur le livre de l’antimoine de Me Eusèbe Renaudot… de Jean Merlet (1654, v. note [3], lettre 346).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johann Georg Volckamer, le 9 avril 1655, note 4.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1068&cln=4

(Consulté le 25/04/2024)

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