À Reiner von Neuhaus, le 26 juin 1664, note 4.
Note [4]

L’hématophobie de Johannes Antonides Vander Linden lui venait de son pur hippocratisme qui voyait d’un mauvais œil les préceptes et les interprétations du galénisme. La probable peste foudroyante qui l’emporta (v. note [8], lettre latine 289) aurait certainement fendu le palladium (bouclier sacré, v. note [33], lettre 223) de la saignée.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Reiner von Neuhaus, le 26 juin 1664, note 4.

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(Consulté le 29/03/2024)

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