De Vopiscus Fortunatus Plempius, le 13 décembre 1656, note 4.
Note [4]

C’est bien sûr Avicenne que Vopiscus Fortunatus Plempius s’appropriait ici familièrement en l’appelant « mon Arabe », et dont il s’apprêtait à publier les deux premiers livres du Canon, traduits en latin.

Imprimer cette note
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – De Vopiscus Fortunatus Plempius, le 13 décembre 1656, note 4.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=9066&cln=4

(Consulté le 29/03/2024)

Licence Creative Commons