Note [42] |
|
« Ô mœurs ! ô temps ! » (Cicéron ; v. note [52], lettre 292). Ces édits d’imposition étaient liés au mécontentement des rentiers de l’Hôtel de Ville (v. supra note [24]). Pour l’apaiser, le roi décida en effet de payer le demi-quartier qu’il voulait leur supprimer en échange de nouveaux impôts. Un édit portait « imposition de deux écus sur chaque muid de vin, et l’autre deux écus sur chaque minot de sel » (Bnf, ms fr. 5844, fos 211v‑212). Le Parlement s’assembla aussitôt pour leur vérification (Jestaz). |
Imprimer cette note |
Citer cette note
x
Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 30 janvier 1654. Note 42
|