À Charles Spon, le 17 octobre 1667, note 42.
Note [42]

« pourvu qu’il gagne ou du moins, qu’il s’entende avec son adversaire » ; seule mention de ce M. Robillard dans les lettres.

Dans les Commentaires de la Faculté de médecine, en date du 30 janvier 1651 (v. note [4] des Décrets et assemblées de la Faculté en 1650-1651), le doyen Guy Patin a évoqué une procédure engagée par Jean Bourgeois contre la veuve de Louis Robillart, leur défunt collègue (mort en 1646), mais il est fort improbable que cette affaire ait encore été en débat tant d’années plus tard.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 17 octobre 1667, note 42.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0925&cln=42

(Consulté le 25/04/2024)

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