Note [43] |
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« qu’on appelle pilules de Francfort, que je crois n’être autre chose que l’aloès nourri et trempé dans l’eau de violettes pendant quelques mois » : v. note [24], lettre 332. |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 3 décembre 1658. Note 43
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