Autres écrits : Une thèse cardinale de Guy Patin :
« La Sobriété » (1647), note 47.
Note [47]

Ce passage emprunte à deux nouvelles sources antiques.

  • Fragmenta M. Terentii Varronis Satyrarum Menippearum… [Fragments des Satires ménippées de M. Terentius Varron (v. note [1], lettre 14)] (Franeker, Ægidius Radæus, 1591, in‑8o), quatre premiers vers de l’Epitaphion intitulé Est modus matulæ Περι μεθης [Il y a une juste mesure à une cruche. Sur l’ivresse], page 26 :

    Vino nihil iucundius quispiam bibit :
    hoc ægritudinem ad medendum invenerunt :
    hoc hilaritatis dulce seminarium :
    Hoc continet coagulum convivia
    .

    [Nul n’a jamais rien bu de plus agréable que le vin.
    On l’a inventé pour remédier au chagrin.
    Il est la douce semence de la gaieté.
    Il est le ciment qui soude les banquets].

  • V. note [15] du Traité de la Conservation de santé, chapitre viii, pour Athénée de Naucratis qui citait Aristophane, donnant au vin le nom de « lait de l’amour charnel » (ou de « Vénus »).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Autres écrits : Une thèse cardinale de Guy Patin :
« La Sobriété » (1647), note 47.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8223&cln=47

(Consulté le 20/04/2024)

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