À Claude II Belin, le 28 août 1635, note 5.
Note [5]

« par écrit et de sa propre main ».

Le samedi 7 juillet, l’Assemblée du Clergé, réunie à Paris, avait estimé que « la coutume de France ne permet pas que les princes du sang […] se marient sans le consentement du roi […] que tels mariages ainsi faits sont illégitimes et nuls » (R. et S. Pillorget). Cet avis n’eut pas d’effet : toutes les tentatives que fit Louis xiii pour casser la mésalliance de son frère Gaston échouèrent ; sous l’influence de Mazarin, le roi reconnut et régularisa en quelque sorte ce mariage huit jours avant sa mort (14 mai 1643).

Imprimer cette note
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Claude II Belin, le 28 août 1635, note 5.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0024&cln=5

(Consulté le 24/04/2024)

Licence Creative Commons