À Charles Spon, le 13 juin 1644, note 5.
Note [5]

« Il a péri du mauvais sort qu’il s’était fait » ; v. note [16], lettre 98, pour Ferrante Pallavicino et son sulfureux Divorce céleste qui lui coûta la vie.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 13 juin 1644, note 5.

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(Consulté le 18/04/2024)

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