Note [5] | |
Retz (Mémoires, page 612) :
Dubuisson-Aubenay (Journal des guerres civiles, tome i, page 206, 18 janvier 1650) :
Le son est « la peau du blé moulu, qu’on sépare de la farine par le moyen d’un blutoir ou sas ou tamis fort délié. Le son gras est celui où on a laissé encore beaucoup de farine, qui n’a pas été bien passée ; son sec ou maigre, celui d’où on a tiré toute la farine. Dans les famines on mange du pain de son » (Furetière). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 1er février 1650, note 5.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0215&cln=5 (Consulté le 20/04/2024) |