À André Falconet, le 2 décembre 1650, note 5.
Note [5]

« l’amour est chose bavarde [v. note [21], lettre 642], elle ne peut se taire ni se cacher ; c’est un feu qui jaillit comme la flamme. »

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 2 décembre 1650, note 5.

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(Consulté le 20/04/2024)

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