Note [5] |
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« À nous, qui cultivons des muses plus charmantes, il n’est pas permis d’être si sérieux » ; Martial (Épigrammes, livre ix, xii, vers 17) :
Charles Spon a plus tard expliqué à Guy Patin que la froideur de Sarrasin (qui était calviniste) à son égard venait du fait qu’il l’avait pris pour un prêtre (v. lettre du 24 janvier 1651). |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 30 décembre 1650. Note 5
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