À André Falconet, le 3 juillet 1663
Note [5]

« mais que cela nous soit ou non favorable, qu’il se porte bien et aille donc s’occuper de ses affaires. »

Telle est l’unique et peu flatteuse apparition du médecin lorrain nommé Perrin (prénom inconnu) dans la correspondance de Guy Patin.

Imprimer cette note
Citer cette note

x Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 3 juillet 1663. Note 5

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0754&cln=5

(Consulté le 25.03.2023)

Licence Creative Commons