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« mais que cela nous soit ou non favorable, qu’il se porte bien et aille donc s’occuper de ses affaires. » Telle est l’unique et peu flatteuse apparition du médecin lorrain nommé Perrin (prénom inconnu) dans la correspondance de Guy Patin. |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 3 juillet 1663. Note 5
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