À André Falconet, les 21, 23 et 25 décembre 1664, note 5.
Note [5]

« mais par la loi du destin qui régit le monde, ou plutôt, pour parler chrétiennement, en ne parlant pas de destin, afin que vous ne me preniez pas pour un cœur insensé ». Guy Patin prenait bien soin de ne pas passer pour un impie aux yeux d’André Falconet.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, les 21, 23 et 25 décembre 1664, note 5.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0804&cln=5

(Consulté le 29/03/2024)

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