Note [5] | |
« En notre ville se répand maintenant une affection maligne, mais qui n’est encore ni pestilente ni contagieuse. C’est une dysenterie à la fois mésentérique {a} et hépatique, {b} qui requiert la saignée et l’emploi des médicaments rafraîchissants et légèrement cathartiques : en un mot, c’est une dysenterie, une affection des intestins, qui a besoin de purgations fréquentes, mais rafraîchissantes tirées du plantain, {c} de la renouée, {d} etc. Salut. »
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 28 août 1668. Note 5
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