À Gilles Ménage, le 20 juillet 1651, note 5.
Note [5]

Page 111, au mot Bézoar, « antépénultième ligne, lisez Bauhinus » :

« Voyez […] Gaspar Bauchinus, {a} médecin de Bâle, au livre qu’il a fait de lapide Bezaar, Pancirolle tit. iii de sa 2e partie, {b} et Salmuth son commentateur. » {c}


  1. Sic pour Caspar Bauhinus :

    Caspari Bauhini Basileens. Archiatri et Praxeos Profess. ordinar. de Lapidis Bezararis Oriental. et Ocident. Cervin. et Germanici ortu natura differentiis veroque usu ex veterum et recentiorum placitis Liber priore editione auctior.

    [Livre de Caspar Bauhin, {i} archiatre de Bâle et professeur ordinaire de pratique médicale, sur l’origine, la nature, les diffrénces et l’emploi de la pierre de bézoard {ii} d’Orient et d’Occident, des cervidés et d’Allemagne, tiré des prescriptions énoncées par les auteurs anciens et modernes, plus riche que la première édition]. {iii}

    1. V. note [7], lettre 159.

    2. V. note [9], lettre 5.

    3. Bâle, Ludovicus Rex, 1625, in‑8o de 294 pages, première édition ibid. 1613.

  2. Livre premier des Antiquités perdues, et si au vif présentées par la plume de l’illustre jurisconsulte G. Pancirol {i} qu’on en peut tirer grand profit de la perte ; {ii} accompagné d’un second, des choses nouvellement inventées et auparavant inconnues. En faveur des curieux. Traduits tant de l’italien que du latin en français par Pierre de La Noüe. {ii}

    1. Guido Pancirole (Pancirollus, 1523-1599) est un jurisconsulte et antiquaire italien.

    2. Sic pour « qu’on peut tirer frand profit de ce qui a été perdu ».

    3. Lyon, Pierre Roussin, 1617, in‑12 de 261 pages ; v. note [2], lettre latine 176, pour Pierre de La Noüe.

      La pierre de bézoard est traitée dans le livre ii, chapitre iii, pages 209‑211.

  3. Le théologien réformé allemand Heinrich Salmuth (1522-1576) a traduit et richement commenté en latin les deux livres de Pancirole. Ménage renvoyait au titre iii (pages 257‑275) du second tome des Rerum memorabilium Guidonis Pancirolli (Amberg, Michael Forsterus, 1608, in‑8o de 740 pages).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Gilles Ménage, le 20 juillet 1651, note 5.

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(Consulté le 29/03/2024)

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