À Johannes Antonides Vander Linden, le 9 février 1657, note 5.
Note [5]

Cretes mendaces semper est la traduction latine d’une imprécation que Callimaque de Cyrène (poète grec du iiie s. av. J.‑C.) a prononcée contre les Crétois qui prétendaient posséder le tombeau de Jupiter sur leur île.

Saint Paul l’a reprise dans son Épître à Tite (1:12) :

Cretenses semper mendaces, malæ bestiæ, ventres pigri.

[Crétois toujours menteurs, mauvaises bêtes, ventres paresseux].

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johannes Antonides Vander Linden, le 9 février 1657, note 5.

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(Consulté le 29/03/2024)

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