Note [5] | |
Restitution proposée d’un verbe (verum fuisse) que Guy Patin a omis de mettre dans sa phrase. Noël Falconet (v. note [2], lettre 388), dans son Système des fièvres et des crises…, (Paris, 1723, v. note [1] de Noël Falconet, 60 ans après) a fait cette remarque (pages 335‑336) : « Mons. Patin dit qu’il avait écrit une grande lettre à Diemerbroeck contre la thériaque, qu’il n’était pas content de sa réponse. L’argument de la lettre de Mons. Patin était tiré de cette sentence : Multitudo remediorum est filia ignorantiæ, {a} “ La multiplicité des remèdes est la fille de l’ignorance ”. La cause de la maladie bien entendue indique un remède, et non pas un assemblage d’animaux, de végétaux et de minéraux. » {a} |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Ijsbrand van Diemerbroeck, le 31 août 1657, note 5.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1123&cln=5 (Consulté le 28/03/2024) |