Annexe : L’ultime procès de Théophraste Renaudot contre la Faculté de médecine de Paris, perdu le 1er mars 1644, note 50.
Note [50]

« Un arrêt est donné sous la cheminée, pour dire qu’il a été donné par la cabale de trois ou quatre conseillers, à la cheminée en se chauffant, et qu’il n’a point été rapporté en plein bureau. Par extension, on dit de toutes les choses faites en cachette et sans solennité qu’elles sont faites sous la cheminée » (Furetière).

V. infra note [52], pour les docteurs en médecine « à la petite mode ».

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Annexe : L’ultime procès de Théophraste Renaudot contre la Faculté de médecine de Paris, perdu le 1er mars 1644, note 50.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8008&cln=50

(Consulté le 29/03/2024)

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