À Charles Spon, le 18 juin 1649, note 55.
Note [55]

« mais pour cela, nous avons besoin d’être dans des temps plus doux et plus paisibles. »

Guy Patin est revenu sur cette affaire, qui lui tenait fort à cœur, dans sa lettre à Johannes Antonides Vander Linden du 23 juillet 1655 (v. sa note [4]).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 18 juin 1649, note 55.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0183&cln=55

(Consulté le 27/04/2024)

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