Autres écrits : Commentaires de la Faculté rédigés par le doyen Guy Patin (1650-1652) : 2B. Novembre 1651-novembre 1652, Décrets et assemblées de la Faculté de médecine, note 56.
Note [56]

« et de fait nulle loi n’est plus juste que de faire périr par leur propre invention les inventeurs d’un supplice ».

Cette citation d’Ovide (L’Art d’aimer), soulignée par Guy Patin dans le manuscrit, y a été soigneusement caviardée à l’aide de boucles très serrées qui la rendent absolument illisible aujourd’hui. Néanmoins, les quelques lettres encore identifiables permettent d’affirmer qu’il s’agit de la citation qu’il a faite dans l’avant-dernier paragraphe de sa lettre à Charles Spon datée du 5 juillet 1652 (v. sa note [37]) en commentant, avec tout autant de virulence qu’ici, la mort de François Vautier (v. note [26], lettre 117), premier médecin de Louis xiv.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Autres écrits : Commentaires de la Faculté rédigés par le doyen Guy Patin (1650-1652) : 2B. Novembre 1651-novembre 1652, Décrets et assemblées de la Faculté de médecine, note 56.

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(Consulté le 29/03/2024)

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