À Charles Spon, le 1er mai 1654, note 58.
Note [58]

Tripe se dit « figurément et par mépris, des passages et lambeaux qu’on tire des auteurs grecs et latins, pour en faire des citations inutiles, ou affectées, ou pédantesques, pour faire paraître quelque érudition à contretemps » (Furetière). Guy Patin était lui-même grand amateur de tripes.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 1er mai 1654, note 58.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0348&cln=58

(Consulté le 29/03/2024)

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