À Charles Spon, le 2 mars 1655, note 6.
Note [6]

« afin qu’il y puise un air plus pur et plus clarifié pour la fortification des parties thoraciques, et pour le bon mélange de la chaleur interne des viscères. »

Imprimer cette note
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 2 mars 1655, note 6.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0392&cln=6

(Consulté le 29/03/2024)

Licence Creative Commons