À Charles Spon, le 6 juin 1655
Note [6]

« il n’a jamais compris la force et la dignité de cet immense et nécessaire secours, {a} et pendant ce temps le juste souffre. » {b}


  1. La saignée.

  2. V. note [44], lettre 176.

Imprimer cette note
Citer cette note

x Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 6 juin 1655. Note 6

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0403&cln=6

(Consulté le 28.05.2023)

Licence Creative Commons