À Charles Spon, le 21 septembre 1657, note 6.
Note [6]

« On lui a baillé belle, pour dire on lui a dit une bourde » (Furetière). Charles Spon avait profité d’un voyage de son épouse, Marie, née Seignoret, pour jouer un petit tour à Guy Patin : Marie Spon le vint voir sans lui dire qui elle était ; et puis, après un moment de conversation au sujet de « Mlle Spon », elle ne sut abuser plus longtemps du subterfuge et convint de sa véritable identité.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 21 septembre 1657, note 6.

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(Consulté le 26/04/2024)

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