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« On lui a baillé belle, pour dire on lui a dit une bourde » (Furetière). Charles Spon avait profité d’un voyage de son épouse, Marie, née Seignoret, pour jouer un petit tour à Guy Patin : Marie Spon le vint voir sans lui dire qui elle était ; et puis, après un moment de conversation au sujet de « Mlle Spon », elle ne sut abuser plus longtemps du subterfuge et convint de sa véritable identité. |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 21 septembre 1657. Note 6
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