À André Falconet, le 10 juillet 1664, note 6.
Note [6]

« mais avec un médicament un peu plus vigoureux, sans doute en y en ajoutant de plus forts, savoir du sirop de roses pâles et de fleurs de pêcher ; évitez absolument toute sorte de scammonées ».

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 10 juillet 1664, note 6.

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(Consulté le 28/03/2024)

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