À André Falconet, le 11 septembre 1665, note 6.
Note [6]

« Tout le monde joue la comédie » (Pétrone, v. note [8], lettre 347).

Antoine Bertrand, « né dans un bourg du Vivarais nommé Chatilleux [aujourd’hui Satillieu en Ardèche], s’acquit la réputation d’un habile chirurgien par les fréquentes démonstrations qu’il fit d’anatomie et de chirurgie dans les Écoles publiques. Il mourut le 3 octobre de l’année 1682 » (Liste funèbre des chirurgiens de Paris, page 128).

V. notes :

  • [11], lettre 254, pour sa paricipation, en 1650, à la dissection du supplicié atteint de situs inversus ;

  • [19] des Décrets et assemblées de la Faculté de médecine en 1651‑1652, pour un autre Bertrand, prénommé Gabriel, chirurgien barbier de Paris qui se piquait de haute science en écrivant contre la circulation du sang et contre William Harvey, son découvreur ;

  • [5], lettre 832, pour les remèdes et résections que Pierre Alliot appliquait à la reine mère, pour le cancer du sein qui était en train de l’emporter.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 11 septembre 1665, note 6.

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(Consulté le 17/04/2024)

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