Note [6] |
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« La maladie herculéenne ». Herculanus morbus est un adage qu’Érasme a commenté (no 1327). Sans employer le mot épilepsie, il s’interroge sur les raisons qui l’ont fait appeler maladie herculéenne, aussi bien que sacrée. Aucune explication ne le satisfaisant, Érasme conclut ironiquement par ces mots :
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 16 février 1666, note 6.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0857&cln=6 (Consulté le 24/04/2024) |