À André Falconet, le 22 juin 1668, note 6.
Note [6]

« ainsi je m’abuse moi-même et ris de moi ».

Brisé par le chagrin et par l’inquiétude, Guy Patin tâchait de se consoler en lisant les :

Iusti Lipsii De Constantia libri duo, qui alloquium præcipue continent in Publicis malis.

[Deux livres de Juste Lipse {a} sur la Constance, qui contiennent principalement un propos sur les Afflictions publiques]. {b}


  1. V. note [8], lettre 36.

  2. Anvers, Christophorus Plantinus, 1584, in‑4o de 161 pages, pour la première de nombreuses éditions et traductions, dont :

    Les deux Livres de Just. Lipsius, esquels, {i} en forme de devis {ii} familier, est discouru des afflictions, et principalement des publiques, et comme il se faut résoudre à les supporter. {iii}

    1. Dans lesquels.

    2. Propos.

    3. Tours, Jamet Mettayer, 1592, in‑8o de 121 pages.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 22 juin 1668, note 6.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0932&cln=6

(Consulté le 19/04/2024)

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