À Johann Caspar I Bauhin, le 4 mai 1641, note 6.
Note [6]

O miseras hominum mentes, o pectora cæca ! [Ô misérables esprits des hommes, ô cœurs aveugles !] (Lucrèce, La Nature des choses, livre ii, vers 14), avec remplacement de miseras par stultas [sots].

V. note [9], lettre 66, pour Deus ipse viderit, qui précède : « Dieu seul sait ce qu’il en adviendra » (Cicéron).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johann Caspar I Bauhin, le 4 mai 1641, note 6.

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(Consulté le 09/05/2024)

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