Note [6] |
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Un peu perdu dans son discours pompeux (dont j’ai tenté de traduire les méandres), Guy Patin, sans le nommer autrement que par Quem [Celui que], revenait sur le porteur de la lettre, Joachim Goerg Elsner (v. supra note [1]). |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Johann Theodor Schenck, le 1er octobre 1665. Note 6
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