Note [62] |
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« Lorsque les Sabins eurent enfermé le vieux Janus, ce fut partout le signe d’une paix florissante : il n’y a aucun salut dans la guerre, le monde entier réclame la paix. Et nous, avons-nous enfermé un vigoureux Janus ? Qu’en adviendra-t-il ? » L’Esprit de Guy Patin a transcrit un fragment (mis entre guillemets anglais) de la lettre du 10 mars 1638 : v. ses notes [5]‑[7]. Le commentaire qui suit, sur la médecine et la guerre, émane de ses compilateurs, aussi dénués de scrupules que de sel. |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Autres écrits : Ana de Guy Patin : |