À Charles Spon, le 1er mars 1650, note 63.
Note [63]

« pour sembler n’avoir omis ou négligé aucun recours, mais la saignée des veines basiliques fonde tout le succès de la guérison parce qu’elle permet seule d’évacuer la pléthore et d’abattre la fièvre vite et sans danger. »

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 1er mars 1650, note 63.

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(Consulté le 25/04/2024)

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