À Charles Spon, le 25 octobre 1652, note 7.
Note [7]

Estramaçon : « coup qu’on donne du tranchant d’une forte épée, d’un coutelas, d’un cimeterre. On le dit aussi de l’arme même. Les héros des romans pourfendaient les géants d’un coup d’estramaçon » (Furetière).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 25 octobre 1652, note 7.

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(Consulté le 26/04/2024)

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