À Charles Spon, le 26 août 1653, note 7.
Note [7]

« Malheureux qui n’a pas de goût, ni par lui-même ni par autrui ; mais laissons à ce genre d’homme la liberté de son caprice et de sa manière habituelle d’être fou ; et en effet il n’est pas grand’chose pour moi. »

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 26 août 1653, note 7.

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(Consulté le 23/04/2024)

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