Note [7] |
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« il a souffert d’une sorte de flux mésentérique et hémorroïdaire ; maintenant, alors qu’il n’est pas encore trop bien remis de cette précédente maladie, il souffre d’un certain dégoût des boissons et se détourne presque avec horreur des bouillons ; d’où vient qu’on craint pour lui une incurable sécheresse des viscères. » |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 17 octobre 1656, note 7.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0446&cln=7 (Consulté le 28/03/2024) |