À Thomas Bartholin, le 28 mars 1652, note 7.
Note [7]

La souscription est différente dans la lettre imprimée : Scripsit filius me dictante Parasiis, die Jovis 28. Martii, 1652 [Écrit par mon fils sous ma dictée, le jeudi 28e de mars 1652].

Le brouillon était autographe, mais en dépit de son impeccable présentation, Guy Patin avait préféré qu’un de ses fils le recopiât. Peut-être voulait-il le conserver, tant il jugeait précieuse l’observation qu’il contenait. C’était sans doute pure coquetterie de sa part de dire qu’il l’avait rédigée raptim [à la hâte]. Sa qualité et son originalité n’échappèrent d’ailleurs pas à Thomas Bartholin qui l’a publiée sous deux formes (v. supra note [6]). Force est de convenir qu’elle reste remarquable, même avec le recul du temps.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Thomas Bartholin, le 28 mars 1652, note 7.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1053&cln=7

(Consulté le 24/04/2024)

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