À Johannes Antonides Vander Linden, le 18 février 1656, note 7.
Note [7]

« et dont les traces m’épouvantent » (Horace, paroles du renard rusé au lion malade, v. note [11], lettre 782).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johannes Antonides Vander Linden, le 18 février 1656, note 7.

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(Consulté le 20/04/2024)

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